Sutra de l’attention à la respiration
Lorsque la pleine lune suivante arriva, le Bouddha, assis à l’extérieur avec les moines, leur dit après les avoir regardés silencieusement : « Vénérables moines, notre communauté est pure et bonne. En son sein, il n’y a nul besoin de bavardage prétentieux et inutile et c’est pourquoi elle est digne de recevoir des offrandes et d’être considérée comme un champs de mérite. Elle est digne de respect. Une telle communauté est rare, et tout pèlerin qui la cherche, aussi long que soit le voyage qu’il doit accomplir cherchera à y prendre refuge et la trouvera digne de respect. »