YOGA BISCARROSSE – Yoga Sandra Hamen

Nom de l’auteur/autrice :Sandra

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La civilisation de l’Indus plus ancienne que Sumer de 1500 ans

La civilisation de l’Indus plus ancienne que Sumer de 1500 ans Ce n’est pas une complète surprise car on connaissait la proximité de cette civilisation avancée avec celle de Sumer mais son antériorité est maintenant établie, première civilisation donc, regroupant 5 millions d’habitants depuis -6000 ans, bien avant les premières traces de civilisation égyptienne (-5000) ou sumérienne (-4500). Cela renforce même l’hypothèse que les sumériens, population différente des sémites akkadiens de la Mésopotamie, seraient issus de la vallée de l’Indus ou d’une civilisation proche ayant été submergée par les flots.   La civilisation de l’Indus est considérée comme l’un des plus anciens établissements humains avec des constructions bien planifiées. Des puits ont été construits pour canaliser l’eau et les eaux usées étaient acheminées dans les rues principales. Auparavant, les chercheurs pensaient que la civilisation avait disparu après l’assèchement de l’Indus à la suite d’un changement climatique. Mais la nouvelle étude montre que ce n’est pas le changement climatique qui peut pas avoir causé la fin de cette civilisation. « Des preuves croissantes suggèrent que ces populations ont abandonné la récolte de céréales à gros grains, comme le blé et l’orge au cours d’une période initiale de mousson intense, pour passer à des espèces résistantes à la sécheresse comme de petits millets et du riz dans la période suivant la réduction de la mousson et ainsi changé leur stratégie de subsistance ». Cette modification des cultures pourrait avoir entraîné une désurbanisation car il n’était plus nécessaire d’avoir de grandes installations de stockage des grains. « Du fait que ces cultures ultérieures avaient généralement un rendement beaucoup plus faible, le système de stockage à grande échelle de la période harappéenne aurait été abandonné au profit de plus petits systèmes familiaux de culture et de stockage qui pourraient avoir été le catalyseur d’une désurbanisation de la civilisation harappéenne plutôt qu’un brusque effondrement ». 2,700 Year Old Yogi in Samadhi Revue des sciences juillet 2016

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Conseils pour le yogi  » SCIENCE DU PRANAYAMA  » de SWAMI SIVANANDA

Conseils pour le yogi issu de l’ouvrage  » SCIENCE DU PRANAYAMA  » de SWAMI SIVANANDA DISCIPLINE DIÉTÉTIQUE L’adepte doit abandonner toute nourriture nuisible à la pratique du yoga. Il doit renoncer au sel, à la moutarde, aux aliments suris, épicés, piquants et amers, à l’asafoetida, à l’adoration du feu, à la sexualité ; il cessera également de trop marcher, de prendre des bains à l’aube, de perdre du poids à cause de jeûnes trop poussés, etc. Au début de la pratique, il est conseillé de se nourrir de lait et de beurre clarifié (ghee). On peut aussi manger des céréales, des légumineuses vertes et du riz complet qui favorisent les progrès. L’adepte retiendra alors son souffle aussi longtemps qu’il le désirera. Il atteindra, par cette rétention, kevala kumbhaka : le souffle s’arrête ; il n’y a plus ni inspiration ni expiration. Une fois kevala kumbhaka maîtrisée, on peut se passer de l’inspiration et de l’expiration. Plus rien, dans ces mondes, n’est désormais inaccessible à l’adepte. Au commencement de la pratique, le yogi transpire. Puis, assis en padmasana (lotus), il fait des bonds sur le sol comme une grenouille. Lorsqu’il aura davantage d’entraînement, il s’élèvera en l’air (lévitation). Alors, il sentira grandir en lui le pouvoir d’accomplir des exploits. Il ne sera plus affecté par quelque peine que ce soit, légère ou profonde. Il ira moins souvent à la selle ; il dormira moins. Les larmes, le liquide visqueux coulant de ses yeux, la salive, la transpiration et la mauvaise haleine disparaîtront. Avec encore plus de pratique, il acquerra une énorme force et obtiendra bhuchara siddhi qui lui permettra de contrôler toute créature vivant sur terre : tigres, sarabhas, éléphants, taureaux sauvages et lions mourront sur un simple coup administré par le yogi. Il deviendra aussi beau que le dieu de l’amour. Et grâce à la préservation de sa semence, un doux parfum émanera de son corps. RÉGIME DU YOGI Votre instinct ou votre petite voix intérieure vous guidera dans le choix de votre nourriture. Vous êtes le meilleur juge pour vous composer un régime sattvique en accord avec vos goûts et votre constitution. Des informations supplémentaires se trouvent en annexe. MITAHARA Remplissez à demi votre estomac de nourriture sattvique. Puis un quart avec de l’eau pure. Et laissez le dernier quart pour la libération des gaz et l’apaisement de Dieu. PURETÉ DE LA NOURRITURE « Ahara-suddhau sattva-suddhih, Sattva-suddhau dhruva-smritih, Smritilabhe sarvagranthinam vipramokshah » : la pureté de la nourriture engendre la pureté de notre nature intérieure qui elle-même favorise le développement de la mémoire. Et lorsque cette mémoire est renforcée, tous les liens se desserrent : le sage atteint alors la libération. Ne pratiquez pas le pranayama après avoir mangé ni quand vous avez très faim. Allez aux toilettes et libérez vos intestins avant de commencer. Un pratiquant doit observer samyama, c’est-à-dire qu’il doit contrôler ce qu’il mange et ce qu’il boit. Ceux qui sont stricts et réguliers dans leur régime alimentaire profitent mieux de leur pratique. Ils arrivent plus vite au but. Ceux qui souffrent de constipation chronique ou qui, au contraire, vont à la selle l’après-midi, peuvent pratiquer le pranayama tôt le matin sans aller aux toilettes. Ils feront de leur mieux et trouveront un moyen à leur convenance pour libérer leurs intestins dès le matin. La nourriture joue un rôle très important dans la pratique de la sadhana. Un aspirant doit être très très prudent dans le choix de ses aliments au début de son entraînement. Plus tard, lorsqu’il aura obtenu des siddhis (pouvoirs surnaturels), il pourra supprimer les restrictions alimentaires trop sévères. CHARU C’est un mélange de riz blanc, de beurre clarifié (ghee), de sucre et de lait bouilli. Cette préparation convient à merveille aux brahmacharis et à tous ceux qui pratiquent le pranayama. RÉGIME LACTÉ Le lait doit être chauffé jusqu’au point d’ébullition, mais ne doit pas bouillir trop longtemps. Pour cela, il suffit d’ôter le lait du feu dès qu’il commence à frémir. Une ébullition trop poussée détruit les vitamines ; elle fait perdre au lait ses principes nutritifs mystérieux, rendant son usage tout à fait inutile (pas nécessaire en Occident). Le lait est un aliment merveilleux par lui-même. Il contient les divers éléments nutritifs dont le corps a besoin et ce, dans un pourcentage très équilibré. Il laisse très peu de résidus dans les intestins. C’est une nourriture idéale pour l’étudiant en yoga pendant sa pratique du pranayama. RÉGIME AUX FRUITS Un régime de fruits exerce une influence douce et apaisante sur la constitution. C’est un régime excellent pour les yogis. C’est une forme naturelle d’alimentation. Les fruits donnent beaucoup d’énergie. Les bananes, le raisin, les oranges douces, les pommes, les grenades, les mangues, les chikkus (sappota) et les dattes sont des fruits sains. Le citron possède des propriétés favorables contre le scorbut et joue un rôle de fortifiant pour le sang. Les jus de fruits contiennent des vitamines C. Les chikkus purifient le sang. Le mélange de lait et de mangue est très agréable à boire. Vous pouvez vivre en ne prenant que des mangues et du lait. Le jus de grenade est rafraîchissant et nourrissant. Les bananes sont aussi très nourrissantes. Les fruits favorisent la concentration. Ils aident le mental à se fixer sans difficulté ALIMENTS AUTORISÉS L’orge, le blé, le beurre clarifié (ghee), le lait et les amandes procurent une longue vie. Ils développent la force et la puissance. L’orge, aliment très recommandé pour les yogis et les sadhakas, a aussi un pouvoir rafraîchissant. Sri Swami Narayan, l’auteur de Ek Santka Anubhav, qui ne porte qu’un simple pagne, vit de pain d’orge. Il recommande ce pain à ses disciples. On dit également que l’empereur Akbar lui-même ne se nourrissait que d’orge. Vous pouvez manger du blé, du riz, de l’orge, du lait, du pain, du lait de vache, du beurre clarifié (ghee), du sucre, du beurre, du sucre-candi, du miel, du gingembre séché (soont), des légumineuses vertes, du soja vert, des pommes de terre, du raisin, des dattes et des khichdis de

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Les vayus

Activation des vayus Un vayu est le prana qui une fois à l’intérieur de l’organisme prend une direction . Le prana est mobile comme le vent et sa force permet , une fois orientée , de participer au bon fonctionnement de notre organisme et de notre psyché . Le prana se divise en 5 sous prana . Il est possible avec le souffle , la tenue des mudras , et des visualisations d’aider à l’activation des vayus . Commencer l’intériorisation en prenant le geste de prière , les paumes des mains serrées ( a leur base et bout des doigts , les avant bras alignés ). Fermer les yeux et se détendre . Sentir le souffle profond dans la poitrine .  Activation Prana Vayu – C’est le souffle qui va vers l’intérieur, qui fait rentrer ( air , l’énergie , les aliments ) Situé dans la partie haute du corps – Correspond au coeur et a son chakra Anahata Mudra :       Souffle : 4 secondes inspir / 4 secondes expir Ujjayi Visualisation : Une lumière verte qui pénètre par les narines dans le coeur et qui en repart – SO / HAM Activation Apana Vayu – qui va vers l’extérieur et le bas – qui sort – évacue les déchets de toute sorte Situé dans la partie basse du corps – Correspond à la base / Muladhara / La terre Mudra :       Souffle : 4 secondes inspir / 4 secondes expir / 4 secondes rétention vide Tenir le sphincter anal à l’inspire et relâcher à l’expir – Visualiser l’inspir qui monte ( SO ) et l’expir qui descend ( HAM ) – et contracter et relâcher la base pendant la rétention à vide  ( ashvini mudra ) et prononcer interieurent  LAM  – Visualiser l’énergie en rouge . Activation Samana Vayu – Souffle de fusion et de transformation – éveillé le feu du ventre pour la digestion et l’assimilation . Situé dans le plexus correspond à Manipura / Feu Mudra :     Souffle : Bastrika ( le soufflet du forgeron )Visualisation : Flamme dans le ventre – RAM Activation Vyana vayu – Souffle qui distribue dans tous le corps – il diffuse dans toute les cellules jusqu’a la périphérie – nous fait rayonner – en relation avec ce qui coule , donc l’eau , correspond a Svadishthana Mudra :       Souffle : 4 secondes inspir / 4 secondes de rétention à plein / 4 secondes d’expir Visualisation : Inspir depuis un point dans le coeur de couleur orange ( sensation de chaleur douce , de joie ,de gaité ) , elle se diffuse dans tout le corps et reviens en son point à l’expir . Activation Udana vayu – Souffle qui monte – la force de redressement et d’expression – situé dans la gorge et dans la tête – correspond à Vishuddha- l’espace Mudra :   Souffle : Inspir Ujjayi depuis la base (les yeux monte en Shambavi ) et expir : Chanter le AUM   Belle pratique ! Sandra

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Sarpasana – Le serpent

Sarpasana ( le serpent )  Sarpa signifie ce qui rampe, ce qui glisse et aussi serpent. Mais c’est également un surnom péjoratif que les Ariens donnaient aux autochtones des forêts parce qu’ils s’y déplaçaient aussi silencieusement que les serpents De nos jours encore, dans le sud de l’Inde, les serpents font l’objet d’un culte en rapport avec le culte des ancêtres. Le serpent est un symbole sexuel bien connu. Les magasins sont vénérés parce qu’ils sont les gardiens des richesses minérales du sol. Cette posture est une variante du cobra mais avec une particularité, d’une part elle est dynamique et d’autre part elle se pratique en rétention du souffle à plein  Exécution de la posture Contracter progressivement toute la musculature du dos puis celle des jambes. Tout cela pendant l’inspiration. C’est le ventre qui se gonflent complètement qui permet de redresser la poitrine il faut bloquer le souffle enfin d’inspiration. Le visage regarde en face. Quand on atteint la hauteur maximum, toute la musculature de la face arrière du corps est tétanisé, donc très contracté. Et je reste dans cette attitude le plus longtemps possible. Puis lorsque j’arrive au maximum du temps de rétention, j’amorce la descente du buste vers le sol en expirant doucement. Je répète la sana cinq ou cette fois. Lorsque je suis au sol je me relaxe complètement. On remarquera que les jambes reste au sol les orteils pointés vers l’arrière Les doigts peuvent être tenus dans le dos ou pour une version plus intense il suffira de travailler avec les bras tendus vers l’avant. C’est Asana peut remplacer le cobra lors de gros problèmes de lombaire ou pour renforcer les muscles du dos. Important : Mala bandha en permanence  Bienfaits :  Les même que Shabalasana Renforce es fessiers  Fort impact sur les viscères de l’abdomen notamment les organes génitaux . Un massage très profond est exécuté ( excellent pur les femmes et renforcer l’utérus et stimuler les organes reproducteur )  L’augmentation de la pression Intra pulmonaire pendant la pause, temps à déplacer et à ouvrir les nombreux alvéoles pulmonaires c’est un excellent tonique pulmonaire les échanges au niveau de la membrane pulmonaire sont intensifiés dans les deux sens, c’est-à-dire une meilleure assimilation de l’oxygène, et une meilleure diffusion et rejette du gaz est désiré, CO2 principalement. Le cœur est le grand bénéficiaire de cette exercice, à la condition d’être raisonnablement intacte. Il se produit un reflux massif de sang veineux, provenant des organes abdominaux, oui n’a que trop tendance à stagner et à former des congestion local. On recycle ainsi des masses de 100 stagnant, tout en facilitant le travail du cœur. Renforce les cervicales.

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La souplesse en yoga , pourquoi ?

Pourquoi travaille t’on la souplesse dans le yoga et pourquoi se concentrer uniquement sur le renforcement musculaire est une erreur ? Et bien cela concerne la bonne circulation de l’énergie . Un corps en santé est un corps ou ses articulations fonctionnent correctement , afin que l’expression de soi ,soit la plus libre possible . La fluidité des mouvements et une bonne mobilité des articulations dépend de la longueur normal des muscles d’abord, de celle des ligaments ensuite. Toute articulation qui n’est pas libre réduit considérablement le passage de l’énergie. ce qui provoque des déséquilibres de tout le squelette et donc de sa posture . S’ensuit des compensations qui au fil du temps deviendront pathologiques par de trop fortes tension ( arthrose , arthrite , lombalgie , sciatique …) Étirer ses muscles est la seule solution pour retrouver une mobilité correcte des articulations . TOUS les muscles sont concernés . Mais cela prend beaucoup de temps , car en effet un muscle avant d’être étiré doit être relaxé : ce qui n’est pas notre spécialité en Occident.           La relaxation musculaire implique un lâcher prise total et un souffle lent …Renouer avec la douceur . Un muscle se contracte naturellement si il y a de la tension et pour exercer l’effet contraire , étirer les fibres musculaires , il faut au moins 30 secondes de total relâchement mental , pour que ces dernières acceptent l’étirement et éventuellement aller plus loin . Faites le test : étirer un muscle à la limite du confortable ( mollet , ischio..) , puis dans la phase d’étirement se détendre malgré l’inconfort , et bout de 30 secondes vous remarquerez que le muscle à accepté l’étirement et qu’il est possible d’aller plus loin ! Travailler uniquement sur le gain de force en contractant constamment tous les muscles est très préjudiciable : les fibres se raccourcissent et la mobilité du corps se réduit !!! L’erreur se situe également dans le vouloir trop étirer, ce qui n’a absolument aucun intérêt. Ne nous laissons pas aveugler par les prouesses élastique de certains yogi sur Internet car cela est de l’ordre plus du spectaculaire que du yoga. Il suffit de constater les dégâts corporels de certains danseurs professionnels qui ont traumatisés leurs muscles et leurs os de nombreuses années : une catastrophe . Le yoga dans toute sa subtilité et son intelligence cherche l’équilibre parfait entre la force et la souplesse afin que son corps soit un véhicule des plus confortable et sans douleurs .

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La salutation au soleil

« Salutation au Soleil »  » surya namaskara «   Surya tire ses racines du mot svar, « briller », et est associé au  Soleil. Namaskara est formé de deux racines, namas, « salutation, adoration » et kara, « faire ». Le rituel d’origine  À l’origine, la Salutation au Soleil est un rituel du matin, en l’honneur du soleil levant qui va apporter son énergie à la terre, bien qu’il soit possible de pratiquer la série à tout moment de la journée.  Pratiquée quinze à vingt minutes par jour, la Salutation au Soleil est parfois considérée comme équivalente à une séance de yoga complète . Sūrya est le dieu-soleil des Veda qui, comme Apollon dans la mythologie grecque, conduit une paire de chevaux célestes. Pour de nombreux yogin en Inde, la Salutation au Soleil est un hommage à Sūrya ( Sūrya se déplace dans un char conduit par Aruna et tiré par sept chevaux ou un cheval à sept têtes, représentant les jours de la semaine. ) et n’est pas vue comme un exercice physique. Ainsi, selon Sri Pattabhi Jois, il serait recommandé de prier le dieu Sūrya avant d’exécuter la Salutation au Soleil et nous allons voir plus bas pourquoi .  La prosternation au soleil était décrite dans les Vedas ( les textes les plus anciens de la littérature hindoue) et plus précisément le  Ṛig-Veda «Yajur Veda, Taittiriya Aranyakam» , également appelé chapitre Surya namaskara, où le nom Sûrya Namaskâra était déjà employé. La salutation au soleil y était décrite comme une manière d’obtenir la santé et la prospérité .Elle était à l’origine un rite , une prosternation spirituelle et moins accès sur l’aspect physique . La prosternation envers le soleil , représente l’abandon complet de soi-même à Dieu. Les formes de Surya Namaskar pratiquées varient aujourd’hui d’une région à l’autre.  Trucha Kalpa Nitya Vidhi et Aditya Prasna sont les anciennes formes populaires védiques de salutations au soleil. Aditya Hridayam est une autre pratique ancienne qui implique le surya namaskar. C’est une procédure de salutation du Soleil, enseignée à Sri Rama par le sage Agastya, avant son combat avec Ravana. Il est décrit dans le «Yuddha Khanda», Chant 107, de Ramayana. Il existe environ 50 variantes de Surya Namaskar . Il est hautement improbable qu’une procédure très moderne du XIXe siècle puisse se répandre et évoluer sous des formes aussi diverses en un laps de temps aussi court. En outre, la plupart des asanas ont des origines anciennes et documentées.Ce qui laisse une fois de plus presser de l’ancienneté de cette pratique . Une des methode :  Au début, prendre la résolution d’exercer «sūrya namaskār» en priant le soleil et en lui demandant de vous donner la santé et la force nécessaires pour travailler dur. Puis réciter les 12 noms du soleil  : OM MITRAYA NAMAHA Toi l’Ami de Tous, je Te salue OM RAVAYE NAMAHA Toi qui est la Clarté, je Te salue OM SURYAYA NAMAHA Toi qui est l’Énergie, je Te salue OM BHANAVE NAMAHA Toi qui est la Lumière, je Te salue OM KHAGAYA NAMAYA Toi qui chemine dans les Cieux, je Te salue OM PUSHNE NAMAHA Toi qui donne la Force, je Te salue OM HIRANYAGARBHAYA NAMAHA Toi le Soi Cosmique Immortel, je Te salue OM MARECHAYE NAMAHA Toi qui perces l’Obscurité, je Te salue OM ADITYAYA NAMAHA Toi qui est le Créateur, je Te salue OM SAVITRE NAMAHA Toi qui est Source de Vie, je Te salue OM ARKAYA NAMAHA Toi le seul qui puisse être Vénéré, je Te salue OM BHASKARAYA NAMAHA Toi le Guide de l’Illumination Spirituelle, je Te salue ( Je vous invite à visiter la chaine de Maitri , créatrice de Yoga et Vedas ) Puis pratiquer la série le nombre de fois désiré Il est aussi possible de réciter à chaque position le mantra – OM SURYAYA NAMAHA Une des publications modernes, le livre «Le chemin de la santé en dix points» du Rajah de Aundha été publié pour la première fois en 1938, La série d’exercices a été mise au point en Inde sous le nom de «Surya Namaskars», publiée pour la première fois en 1928.Le Rāja d’Aundh écrivait à ce propos que les Hindous et les Parsis considèrent la Salutation au Soleil comme un devoir religieux alors que de nombreuses personnes la voient comme un exercice pour la santé qui contient une forme de rite religieux.                            «  Les inconditionnels de Surya Namaskars affirment que cela permet de résister aux maladies et autres maux: 1. Le système digestif – Un nombre effroyable de personnes souffrent de désordres gastriques et intestinaux pouvant entraîner des problèmes hépatiques, l’hydropisie, les amoncellements, le diabète et bien d’autres; 2. Cœur et poumons – Les rhumes, la toux, l’asthme, les palpitations et une liste d’autres symptômes sont des symptômes de troubles cardiaques et pulmonaires; 3. Le système nerveux, y compris le cerveau et la moelle épinière – Maux de tête, pertes de mémoire et équilibre. Les affections de la moelle épinière comprennent la paralysie, la myélite, sclérose en plaques et fatigue après un effort, même léger, dépression, circulation médiocre dans les mains et les pieds et sommeil perturbé. «  Le programme: Les enfants âgés de 8 à 12 ans, en bonne santé, devraient faire de 25 à 50 répétitions 5 fois par semaine; L’âge 12 – 16 ans devrait effectuer 50 – 100 répétitions 5 fois par semaine; L’âge de 17 ans et plus devrait effectuer jusqu’à 300 répétitions 5 fois par semaine, en fonction de leur forme physique; L’âge de 60 ans doit être suffisamment élevé pour que tous puissent être utilisés. Rappelez-vous toujours la règle de base de tout exercice – Pour obtenir des avantages à long terme, vous devez le faire régulièrement, en continu et en proportion de la force et des capacités de chacun. Sandra Hamen

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