YOGA BISCARROSSE – Sandra Hamen

Nom de l’auteur/autrice :Sandra

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NIRVANASHATKAM  – Adi Shankara

NIRVANASHATKAM  L’Atmashatkam (, ātmaṣaṭkam), également connu sous le nom de Nirvanashatkam (, Nirvāṇaṣakam), est une composition composée de 6 pliages de śloka (et de ce fait le nom aṭ-ka signifie en réalité six fois plus), écrite par le philosophe indien Adi Shankara les enseignements de l’Advaita Vedanta, ou les enseignements hindous du non-dualisme. C’était écrit vers 788-820 de notre ère. Adi Shankara (sanskrit : Ādi Śaṅkara, devanagari : आदि शङ्कर ; parfois appelé Ādi Śaṅkarācārya ; de Śaṅkara ou Śaṃkara2, « celui qui apporte la félicité », une des épithètes de Shiva), est, au viiie sièclen , un des plus célèbres maîtres spirituels de l’hindouisme, philosophe de l’école orthodoxe Advaita Vedānta, et commentateur des Upanishad védiques, du Brahma Sūtra et de la Bhagavad-Gita. Il eut pour maître Govindanātha et mena une vie de renonçant itinérant (saṃnyāsin) allant d’un monastère ou d’un temple à un autre, d’une communauté à une autre. Ce fut un « réformateur religieux » qui chercha à créer une entente entre les divers courants et écoles religieuses de son époque. ( source : wikipedia  ) Il est dit que lorsqu’Adi Śaṅkara était un jeune garçon de huit ans errant près de la rivière Narmada, cherchant à trouver son gourou, il rencontra le voyant Govinda Bhagavatpada qui lui demanda: « Qui es-tu? ». Le garçon a répondu avec ces strophes, appelées «Nirvāṇa Ṣaṭkam» ou Ātma Ṣaṭkam ». Swami Govindapada a accepté Ādi Śaṅkara comme disciple. On dit que les versets sont précieux pour faire progresser les pratiques de contemplation qui mènent à la réalisation de soi. « Nirvāṇa » est l’équanimité complète, la paix, la tranquillité, la liberté et la joie. « Atma » est le vrai moi. नाहं च घ्राणनेत्रे। व्योम शिवोऽहम्। manobuddhyahaṅkāra cittāni nāhaṃ na ca śrotrajihve na ca ghrāṇanetre na ca vyoma bhūmirna tejo na vāyuḥ cidānandarūpaḥ śivo’ham śivo’ham 1॥ प्राणसंज्ञो न, सप्तधातुः न वा पञ्चकोशः। वाक्पाणिपादौ न चोपस्थपायु, शिवोऽहम् शिवोऽहम् ।। 2 na ca prāṇasaṃjño na vai pañcavāyuḥ na vā saptadhātuḥ na vā pañcakośaḥ। na vākpāṇipādaṃ na copasthapāyu cidānandarūpaḥ śivo’ham śivo’ham 2 द्वेषरागौ न, मे नैव मात्सर्यभावः। न, शिवोऽहम् शिवोऽहम् ।। 3) na me dveṣarāgau na me lobhamohau mado naiva me naiva mātsaryabhāvaḥ। na dharmo na cārtho na kāmo na mokṣaḥ cidānandarūpaḥ śivo’ham śivo’ham 3 न, न यज्ञ नैव भोज्यं, शिवोऽहम् शिवोऽहम् ।। 4) na puṇyaṃ na pāpaṃ na saukhyaṃ na duḥkhaṃ na mantro na tīrthaṃ na vedā na yajñāḥ ahaṃ bhojanaṃ naiva bhojyaṃ na bhoktā cidānandarūpaḥ śivo’ham śivo’ham 4 मृत्युशंका, मे जन्मः। मित्रं गुरूर्नैव शिष्यः, शिवोऽहम् शिवोऽहम् ।। 5) na mṛtyurna śaṅkā na me jātibhedaḥ pitā naiva me naiva mātā na janmaḥ na bandhurna mitraṃ gururnaiva śiṣyaṃ cidānandarūpaḥ śivo’ham śivo’ham 5॥ निर्विकल्पो निराकार रूपो, सर्वत्र सर्वेन्द्रियाणाम्। नैव मुक्तिर्न मेयः, शिवोऽहम् शिवोऽहम् ।। 6) ahaṃ nirvikalpo nirākārarūpo vibhutvācca sarvatra sarvendriyāṇām na cāsaṅgataṃ naiva muktirna meyaḥ cidānandarūpaḥ śivo’ham śivo’ham 6 Sens: 1) Je ne suis pas l’esprit, ni l’intellect, ni l’ego, ni les reflets du moi intérieur (citta). Je ne suis pas les cinq sens. Je suis au-delà de ça. Je ne suis pas les sept éléments ou les cinq gaines. Je suis en effet, cet éternel savoir et bonheur, le bon augure (ivam), l’amour et la conscience pure. 2) Je ne peux pas non plus être qualifié d’énergie (prāṇa), ni de cinq types de souffle (vāyus), ni de sept essences matérielles, ni de cinq gaines (pañca-kośa). Je ne suis pas non plus l’organe de la parole, ni les organes de retenue (main), de mouvement (pieds) ou d’excrétion. Je suis en effet, cet éternel savoir et bonheur, le bon augure (ivam), l’amour et la conscience pure. 3) Je n’ai ni haine ni aversion, ni affiliation ou goût, ni avidité, ni délire, ni fierté, ni fierté, ni sentiments d’envie ou de jalousie. Je n’ai aucun devoir (dharma), ni argent, ni désir (kāma), ni même libération (mokṣa). Je suis en effet, cet éternel savoir et bonheur, le bon augure (ivam), l’amour et la conscience pure. 4) Je n’ai ni mérite (vertu), ni démérite (vice). Je ne commets ni péchés ni bonnes actions, ni bonheur ni chagrin, ni douleur ni plaisir. Je n’ai pas besoin de mantras, de lieux saints, d’Ecritures (Vedas), de rituels ou de sacrifices (yajñas). Je ne fais partie ni de la triade de l’observateur ni de celui qui expérimente, du processus d’observation ou d’expérimentation, ni de tout objet observé ou expérimenté. Je suis en effet, cet éternel savoir et bonheur, le bon augure (ivam), l’amour et la conscience pure. 5) Je n’ai pas peur de la mort, comme je n’ai pas la mort. Je n’ai aucune séparation de mon vrai moi, aucun doute sur mon existence, ni aucune discrimination sur la base de la naissance. Je n’ai ni père ni mère, ni naissance. Je ne suis pas le parent, ni l’ami, ni le gourou, ni le disciple. Je suis en effet, cet éternel savoir et bonheur, le bon augure (ivam), l’amour et la conscience pure. 6) Je suis tout envahissant. Je suis sans aucun attribut et sans aucune forme. Je n’ai ni attachement au monde ni à la libération (mukti). Je ne souhaite rien parce que je suis tout, partout, à chaque fois, toujours en équilibre. Je suis en effet, cet éternel savoir et bonheur, le bon augure (ivam), l’amour et la conscience pure. By Kautilya     

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Le Yoga integral / Biscarrosse

Le yoga intégral englobe TOUS les aspects du Yoga : aspect philosophique aspect physique aspect énergétique aspect spirituel C’est ce qu’offre l’étendu de techniques et aspects du YOGA pour un éveil délicat de la conscience . Tel est le but du YOGA : « yogah-citta-vrtti-nirodhah » = Le yoga est l’arrêt des fluctuations du mental et de son fonctionnement automatique. Quand un Yogi embrasse le yoga de façon sincère , toute sa vie sera dédiée à toutes facettes de la discipline yoguique . Tres souvent on comment son intérêt par la pratique physique des asanas , qui se préoccupe du corps grossier ‘ annamaya Kosha  » puis naturellement les corps plus subtils demandent à être purifiés et l’apprentissage des autres  » membres  » s’imposent …. Tel est le chemin du Yoga

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Fini le mal de dos

Methode de redressement postural ( mézières )  La chaine postérieure Largement inspiré de la méthode mézières et du constat qu’elle meme à fait dans es années 40 dans ce qu’elle appelle «  l’observation princeps «  : Un malade présente une importante cyphoses dorsale enraidie. Dès que l’auteur parvient à plaquer le dos de ce patient au sol grâce a une pression sur les épaules, une lordoses lombaire apparait. Corrigé par une flexion des genoux, celle-ci se reportent au niveau nucal et la tête se renverse en arrière . Encouragea Madame à assouplir les muscles spinaux de ce malade. Le succès de ce traitement l’amenant à formuler le principe de base : « il faut allonger les Spinaux et sur toute leur étendue et non les tonifier et raccourcir par des flexions en arrière du dos et de la tête avec opposition ou chercher à les allonger exclusivement au niveau du segment qui, dans l’attitude debout, et lordotique. » Pour elle les lordose sont principalement responsable des déviations. C’est elle qui pour la première fois parle de chaîne musculaire postérieure ( ensemble de muscles polyarticulaires ) Elle parlera de 4 chaines musculaires : La chaines antérieur du cou , la chaine des membres supérieurs , la chaine antéro-interne ( psoas, diaphragme ) , la chaine postérieur ( arrière du crâne et pointe du pied ) La chaine postérieure se comporte comme un seul et même muscle La seule élongation (la vraie, sans autoriser de compensation) des groupes postérieurs fortifie les groupes antérieurs. Et nous affirmons qu’il n’est pas possible de tonifier correctement (c’est-à-dire, en respectant la «belle forme») les muscles antérieurs, si l’on ne retire pas l’excès de tonus des muscles postérieurs. Encore une fois, ce n’est pas au niveau du siège de la douleur qu’il faut travailler ni l’impotence elle-même qu’il faut essayer de lever. La cause est ailleurs, toujours la même : l’hyperlordose, et la seule application de la méthode supprime la douleur sans y toucher, et rétablit la motricité sans la solliciter, et cela, parce qu’elle rétablit la morphologie Methode les gestes thérapeutiques : la décontraction musculaire : allonger un muscle ou un ensemble de   muscles lordosants afin d’empêcher ou d’annuler une action compensatrice 2.La détente musculaire : diminuer le tonus musculaire de la musculature lordosante, par exemple la position en decubitus sur un plan dur 3. l’étirement musculaire : allonger  un muscle ou une chaine musculaire au delà de son élasticité. L’étirement est durable, il est plastique, c’est le fluage : l’allongement plastique d’un matériau semi-fluide. 4. la contraction excentrique : c’est la contraction de plusieurs groupes musculaires telle qu’elle provoque un allongement de ces mêmes groupes musculaires. Par exemple : la contraction simultanée des muscles ischio-jambiers et des triceps suraux  provoque une extension du membre inférieur au niveau du genou. 5. le travail musculaire actif : des muscles antérieurs tels que le quadriceps ou des muscles abdominaux. C’est dans ces conditions que l’on peut prétendre dé-lordoser d’abord le segment cervical (La langue est un muscle frontière entre les chaînes musculaires postérieure et antérieure. Sa position de repos correcte est : la pointe de la langue en contact  avec le palais, derrière les incisives supérieures, sans prendre contact sur celles-ci. C’est la condition pour un bon fonctionnement de l’articulation temporo-maxillaire, un bon développement  du maxillaire supérieur chez l’enfant et un bon équilibre des forces des chaînes musculaires antérieure, antérieure lordosante et postérieure. Un point d’appui de la langue sur les incisives inférieures provoque des contractions musculaires excessives des masseters, des muscles de la nuque et du diaphragme. ), puis le segment thoracique ( avec le souffle C’est l’expiration demandée lors des postures Mézières en fonction du dismorphisme observé, elle est associée à une correction de la lordose cervicale, elle provoque une détente des muscles para-vertébraux dorsaux et lombaires grâce au travail des muscles abominaux. Elle est conduite par un abaissement du sternum (en bas et en dedans), stimulée par le contact de la main du thérapeute sur le sternum et par une vérification de l’absence de contraction des muscles para-vertébraux lombaires jusqu’à obtenir une réduction de la lordose lombaire et la rétroversion du bassin. L’inspiration active maximale se caractérise par une contraction du muscle diaphragme et des muscles inspirateurs accessoires : Sterno-cléido-mastoïdiens, scalènes antérieurs… L’inspiration demandée lors des postures Mézières est costale haute, en précisant d’obtenir une sensation de «respirer dans le dos» pour ne pas accentuer la lordose lombaire et donc pour ne pas contracter  les muscles para-vertébraux dorsaux et lombaires.) , car les «dos plats» sont en réalité des lordoses, puis le segment lombaire. Conclusion : les tensions musculaires nous tassent et nous déforment . Les maux de dos ne sont pas dus a un manque de musculature des dorsaux ( au contraire ils sont en générale trop forts ! ) mais à un manque de souplesse et d’élasticité de la chaine postérieure . et les muscles de devant se ramollissent Pour récupérer il est important d’éviter la rotation interne des membres , il faut contracter le muscle et l’étirer

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YOGA : La Bhagavad-Gita

Version audio d’un des livre les plus sacré de l’hindouisme La Bhagavad-Gita ou Bhagavadgita (devanagari : भगवद्गीता (Bhagavadgītā), terme sanskrit se traduisant littéralement par « chant du Bienheureux » ou « Chant du Seigneur » est la partie centrale du poème épique Mahabharata (Aranyaka-parva, 25 – 42). Ce texte est un des écrits fondamentaux de l’hindouisme souvent considéré comme un « abrégé de toute la doctrine védique ». La Bhagavad-Gita est composée de 18 chapitres. Ce récit n’a cessé d’imprégner la pensée indienne tout au long des siècles. wilkipédia

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